Festival Lisula Cinemusica Île Rousse du 21 au 25 octobre au cinéma le Fogata.
Bravo aux organisateurs d'avoir maintenu ce festival, les moments deviennent rares pour l'ouverture et la culture alors profitons en... encore un peu...
Source : Eric Champelovier sur Facebook
Le trio Tintenne était ce soir 2 octobre un quatuor, puisque la jeune danseuse Emmanuelle Alberti s'était jointe à Letizia Giuntini, Anne-Lise Herrera et Marjorie Maestracci pour ce programme intitulé "Stonde".
Nous connaissons bien Letizia Giuntini, d'Isulatine aux concerts solo dans la chapelle d'Occi. Chanteuse à la voix rugueuse et tendre, elle crée des chansons, en français et en corse, d'une grande qualité.>
Marjorie Maestracci apporte aux percussions (elle utilise aussi un instrument exotique) un jeu tout en finesse.
Anne-Lise Herrera, précoce accompagnatrice d'A Filetta, multiplie les expériences, du Trio Elixir à des nombreuses collaborations. Elle aime sortir des sentiers battus, et « Stonde » lui en donne une nouvelle occasion.
Emmanuelle, la danseuse, accompagne ces chants avec beaucoup de grâce.
Adapter "Brothers in arms" en polyphonie... C'est un vieux rêve d'adolescent : je "l'entendais" ; vaguement.
Laurent Simonpoli, avec "Sintinelli", en a fait une réalité... A Filetta, avec leurs surprenants arrangements vocaux et une interprétation saisissante, l'ont porté au-delà de mes plus belles espérances.
Vi ringraziemu di core : eiu, è quellu ghjuvanottu chi era...
Eccu la mio addattazione di e parole di Mark Knopfler :
"Sò ormai casa mea
Ste cime annibiate.
Ma eo, piaghjincu sò,
E ùn saraghju d’altrò.
Voi, ci vulterete à
I nostri valli è pagliaghji,
Senza mai più primura
D’esse fratelli in arme.
Tra cunfine spiantate,
Battesimi di focu,
Sò testimoniu di guai,
Di strage in ogni locu.
Ma puru sta ferita chi m’affanna,
E l’angoscia, è lu dannu,
ùn m’avete cappiatu,
I mio fratelli in arme.
C’hè tanti mondi sfarenti
Quantu soli lucenti,
E stu pezzu di terra
Sulcatu da a guerra.
U sole hè in infernu,
Sott’a luna appesa.
Vi vulia abbraccià,
Avà mi tocca à andà.
Ma sarà scrittu ind’è e stelle
E in ogni palma di manu :
Oh mai più macelli
Tra fratelli in arme !"
Frédéric Antonpietri
En résidence pendant dix jours, l’équipe du spectacle « Sintinelli » nous a reçu au Théâtre Municipal. Ce projet pluri-culturel original est porté par Laurent Simonpoli, Armand Luciani et Frédéric Antonpietri. Sur scène, une troupe d’acteurs, de musiciens, de chanteurs et de techniciens particulièrement impliqués. Prévu en mars dernier, il a été repoussé pour cause de crise sanitaire. La grande première tant attendue se joue ce jeudi 1er octobre à 20h30 au Théâtre de Bastia.
« Au bout de mes rêves »
C’est Laurent Simponpoli qui nous reçoit au Théâtre de Bastia, véritable maître-d’œuvre de ce spectacle, il insiste sur l’aspect collectif du projet. « Oui, l’idée de départ, c’est un scénario que j’ai écrit il y a plus de 10 ans, précise-t-il. J’avais évidemment envie de le porter à l’écran mais le projet n’a pas abouti. Je voulais raconter quelque chose sur ici, sur mon île, sur ce que je connais. Quand on regarde en arrière, c'est fou ce que la Corse a vécu en 40 ans. J'ai alors eu envie que ça existe, d’une façon ou d’une autre. Après avoir organisé avec Frédérique Balbinot la soirée d’inauguration de l’Alb’oru, des liens se sont créés avec Bastia Cultura. J’ai senti l’envie de la ville de porter un projet insulaire de cette envergure. Je ne pouvais pas imaginer cette “fresque” historique comme une simple pièce, je voulais un spectacle capable de mêler du théâtre, de la musique, des chants et des images. J’ai proposé à Armand [Luciani] et Tonton [Frédéric Antonpietri] de se lancer dans l’aventure avec moi. Ils ont tout de suite adhéré tout comme les acteurs, les actrices, les chanteurs et les musiciens... C’est fou, tout le monde a dit : oui ! Le projet a commencé à voir le jour... »
« C'est ta chance »
La pièce, programmée dans le cadre de Spettaculu Vivu, au 27 mars dernier a été annulée pour cause de COVID-19. « ça nous est tombé dessus, confirme Laurent, on devait commencer la résidence le 16 mars. Alors bien sûr on a eu peur, on a douté mais dès la fin du confinement, on s’est dit : on va la jouer ! Devant une moitié de salle s’il le faut, mais on va la jouer. Ce projet tenait à cœur à tout le groupe. » D’ailleurs, malgré des emplois du temps chargés, tout le monde a répondu présent et la résidence a enfin pu se faire. Pas facile quand on voit le nombre de comédien.ne.s et musicien.ne.s impliquées dans le projet. Seul manquera à l’appel Nathanaël Maïni, retenu à l’étranger. « J’ai rapidement pensé à Gray Orsatelli pour le remplacer, nous dit Laurent. Ce n'est pas évident pour lui, il sortait de César Vezzani qui est un gros spectacle. Il a joué jeudi et vendredi soir au Théâtre. Lundi matin il était avec nous et il connaissait déjà son texte ! » Si Laurent loue l’implication et l’investissement de tous, il insiste aussi sur le rôle des techniciens du théâtre : « Leur implication est énorme. C’est un spectacle qui demande beaucoup de technique au niveau son, image et éclairage. Ils gèrent ça avec talent, ils sont à l’écoute. Sans eux, pas de spectacle. »
« Quand la musique est bonne »
Frédéric Antonpietri – Tonton pour les intimes – nous reçoit dans sa loge. Un endroit à l'écart de la scène qui lui permet de travailler en petit groupe sur la partie musicale : « Dès le premier contact avec Laurent, j’ai senti l’ambition du projet et j’ai eu envie d’en être. ça me faisait penser à une comédie musicale... sans en être une [rires]. Je me suis immédiatement posé la question : comment inclure la musique ? Au final, j’ai eu l’impression de composer une bande originale. Il y a plus de 35 interventions dans la pièce avec des créations, des standards de la chanson corse et internationale réarrangé et musclé ! Imaginez Dire Strait traduit en Corse et chanté en polyphonie. »
Tonton a su s'entourer : « Et cette équipe ! Quel plaisir de travailler avec A Filetta, avec Patrizia, Francine ou encore Doria. C’est du bonheur. Après, quand tu fais appel à tes potes dont tu connais tout le talent, ça facilite les choses. Paul Cesari, Jean-Marie Giannelli, Michè Dominici et Nicolas Torracinta ont rejoint l'aventure. Le travail est énorme, il fallait des gens qui me comprennent. Et par exemple, avec A Filetta, même si on se connaît, c’est notre première collaboration Ils ont joué le jeu à 100%, et, en même temps, on sent qu’ils s’amusent, qu’ils prennent du plaisir. »
Comme Laurent quelques minutes plus tôt, Tonton nous confirme : « L’équipe technique du Théâtre ? C’est le 12e homme ! Quand je vois ce qu’on leur fait faire avec le son et la musique : ça rentre, ça sort, ça crie, ça parle, ça chuchote, ça stop, ça reprend... Ils suivent, ils sont partie intégrante du projet. » Il poursuit : « Chacun dans notre domaine, ça fonctionne. Laurent pour la direction et la mise en scène. Armand avec les visuels et nous avec la musique. Mais jeudi, il va falloir réunir les trois et que ça “matche” ! La fusion des trois, c’est indispensable. ça doit être cohérent pour le public. Les premiers filages vont vite nous renseigner...»
« Entre gris clair et gris foncé »
C’est ensuite Armand Luciani que l’on rejoint derrière les consoles, au fond de la salle, d’où il observe les répétitions. C’est avec humilité qu’il parle de son apport au spectacle : « J’ai surtout effectué un gros travail d’archives. Dès que Laurent m’a associé au projet, j’ai vite compris qu’il nous faudrait de la matière, beaucoup. Des images, des vidéos sur ces trente ou quarante dernières années. Le tout dans des formats différents : photos, articles, vidéos, etc. Laurent avait beaucoup de documents et j’ai moi-même utilisé des films de famille » explique-t-il alors que défile sur l’écran un film Super 8 avec son grand-père à la pêche. « J'ai numérisé le tout pour les rassembler au même format et pouvoir les utiliser sur scène. J’ai crée mes séquences, chaque enchainement pour être prêt le jour J. Depuis le temps que l’on travaille dessus, j'ai vraiment hâte de voir le résultat en condition réelle, sur scène. »
Une impatience partagée par des spectateurs qui devraient venir nombreux, ce jeudi au Théâtre, découvrir ce projet ambitieux.
Septembre 2020
Août 2020
Le reportage de TelePaese :
(cliquer sur l'image pour zoomer)
Un concert exceptionnel sous les oliviers pour conclure ces magnifiques rencontres de Calenzana.
Leoš Janáček Sonata 1.X.1905 “Z Uliče” (“Nella strada”)
Predtucha (Presentimento) Smrt (Morte)
Aleksandr Skrjabin 24 Preludi op.11 (1888-1896)
No. 1 in do maggiore – Vivace No. 2 in la minore – Allegretto No. 3 in sol maggiore – Vivo No. 4 in mi minore – Lento No. 5 in re maggiore – Andante cantabile No. 6 in si minore – Allegro No. 7 in la maggiore – Allegro assai No. 8 in fa diesis minore – Allegro agitato No. 9 in mi maggiore – Andantino No. 10 in do diesis minore – Andante No. 11 in si maggiore – Allegro assai No. 12 in sol diesis minore – Andante No. 13 in sol bemolle maggiore – Lento No. 14 in mi bemolle minore – Presto No. 15 in re bemolle maggiore – Lento No. 16 in si bemolle minore – Misterioso No. 17 in la bemolle maggiore – Allegretto No. 18 in fa minore – Allegro agitato No. 19 in mi bemolle maggiore – Affettuoso No. 20 in do minore – Appassionato No. 21 in si bemolle maggiore – Andante No. 22 in sol minore – Lento No. 23 in fa maggiore – Vivo No. 24 in re minore – Presto
LAMENTI
Retour en images du concert de Lumio qui a eu lieu dans le cadre des rencontres de Calenzana...2020
Pierre Charvet
« Lamento », pour 2 violoncelles et Contrebasse.
Etienne Ozi
Sonate pour violoncelle et basson.
Richard Wagner/ David Walter
« Siegfried Idyll »
Dominique Vidal (clarinette), Manuel Escauriaza (cor), Alexandre Gattet (hautbois), Julien Hardy (basson), Mathilde Calderini (flûte), Alexandre Pascal, Eric Lacrouts (violons), Antonin Le Faure (alto), Aurélien Pascal, Marie-Paule Milone, (violoncelles) Laurène Durantel (contrebasse)
INVITATION AU VOYAGE
Gérard Caussé, alto / Paul Meyer, clarinette / David Fray, piano
Une invitation au voyage, découvrir le jardin mystérieux, celui des essences rares qui se cherchent, s’effleurent, se côtoient... ces résonances indicibles qui s’entrelacent, se trouvent, s’unissent, voire s’opposent...ces voix qui s’appellent, s’interpellent, aussi, souvent, se font écho...
Nos musiciens : ils sont tous trois, les promeneurs, les créateurs...non pas les trois mousquetaires, encore que chacun ait sa lame, son instrument, trois amis au long cours, se portant une profonde estime, trois générations qui se mettent à l’unisson, nous conviant aux trois époques :
– « La Baroque »
Bach, 1685/1750, Leipzig, Allemagne
Sonate piano/alto
– « La Classique »
Mozart, 1756/1791, Salzburg, Autriche.
Trio des Quilles, piano/clarinette/alto
– « La Romantique »
Brahms, 1833/1897, Hambourg, Allemagne
Sonate piano/clarinette
Schumann, 1810/1856, Zwickau, Allemagne
Trio Märchenerzählungen, dit « Contes de Fées » piano/clarinette/alto
Chaque œuvre est un joyau, mais, ce soir, nous nous attarderons sur la naissance du « Trio des quilles »...peut-être un peu romancée...et pour autant révélatrice de ces tissages ineffables qui unissent les compositeurs et leurs interprètes...
Comment ne pas évoquer l’ardent Mozart, porté par sa grâce et pourtant harassé, disait-il....il ne cessait de vibrer de créativité !
Il aimait à se rendre dans le jardin de son ami Nikaulos VON JACQUIN, un éminent botaniste, féru des plus belles essences, requis par l’Empereur d’Autriche François Ier, pour ornementer ses promenades sous les ombrages, aux parterres délicatement choisis...
Oui, Mozart aimait se re-poser dans ce jardin merveilleux de Nikaulos, non sans s’adonner vivement au jeu en vogue à l’époque : celui dit « des Quilles »....
Mais qu’écoutait-il, que composait-il, qu’avait-il en tête, tout en frappant allègrement sur la boule qui ferait chuter la quille de son comparse ?.
N’en vint-il pas à convier son ami Clarinettiste, Anton STADLER....Cet Anton qui l’avait initié à l’enchantement de son instrument, Mozart en écrivit les plus belles pages...Rappelez-vous ce temps suspendu du film « Out of Africa », où s’élève, la nuit, dans le mystère de la savane, la voix du Concerto pour Clarinette...
Voici donc, imaginons : Anton est là avec son instrument, Mozart se tient à la partie d’Alto, et la jeune Franzisca, fille de Nikaulos, pianiste, élève de Mozart, est conviée d’évidence...
Le « Trio des Quilles » pourrait être né comme un bouquet merveilleux, surgit dans le jardin de notre célèbre botaniste ....Nous étions le 5 Aout 1786.
Il fallut attendre Schumann, en Octobre 1853, pour que s’élève à nouveau la tessiture conjuguée de ces trois instruments..., intitulée... « Contes de Fées »... que vous entendrez aussi ce soir.
Ainsi, en allait-il d’un certain monde, celui de l’Harmonie, que nous proposent nos trois amis musiciens.
Gérard Caussé
SERENADE
Certainement les deux pièces les plus jouées, les plus écoutées et les plus aimées de toute l’histoire de la musique .
Le quatuor avec flûte et son incontournable mouvement lent construit comme une sérénade mélancolique à l’instant des grands adagios de ses concertos. Deuxième véritable «tube » classique, la petite musique de nuit ,tardive sérénade aux propositions modeste, est également une des grandes et lumineuses réussites de la maturité de Mozart.
Mozart, Sérénade KV 525 n°13 en sol majeur. « Eine kleine Nachtmusik »
Quatuor avec flûte KV.285
Antonin Le Faure (alto), Alexandre Pascal, Simon Milone (violons), Marie-Paule Milone (violoncelle), Mathilde Caldérini (flûte), Laurène Durantel (contrebasse).
SYMPHONIES
C'est devant un public venu nombreux (et masqué) que les musiciens des rencontres se sont produits. Un très joli moment
Le concert de Cassanu est l'un des temps forts de ce festival.
Même au sein d’un festival de musique de chambre, l’évocation des grandes formes symphoniques beethoveniennes est possible.
Hummel et Ries réaliseront du vivant du compositeur des versions réduites de ses grands et populaires chef d’œuvres symphoniques. Il semble même que seules les formations orchestrales de la fin du XIX siècle pourront affronter les redoutables difficultés de ce nouvel univers qu’invente Beethoven. Porté par la lumière du divin Mozart, le quintette OP.16 se déroule comme un concerto de chambre, souvenir du dernier concerto pour piano de Mozart, annonciateur du grand concerto op.73 l’Empereur.
Beethoven.
Symphonies, Symphonie de chambre.
symphonies 3,5,7 arrangements Hummel et Ries.
Symphonie n°5, Allegro (Beethoven/Hummel)
Symphonie 7, Allegretto (Beethoven/Hummel)
Symphonie N°3 « Héroïque », Finale (Beethoven/Ferdinand Ries)
Quintette op.16 piano et vents mib op.16. 27′
Marie-Paule Milone (Violoncelle), Eric Lacrouts, Alexandre Pascal (violons), Simon Milone (violons), Mathilde Calderini ( flûte), Julien Hardy (Basson), Alexandre Gattet (Hautbois), Dominique Vidal (clarinette), Manuel Escauriaza (cor), Denis Pascal (piano).
VIENNE AU TEMPS DE BEETHOVEN
Quel Duo...
Le duo Saint-Saëns est composé du pianiste Olivier Cangelosi et de la soprano Lyrique Coloratura Julia Knecht. La particularité de ce duo est d’apporter le répertoire de la mélodie, de l’Opéra et de l’Opérette à un large public par le biais d’une mise en scène ludique et accessible à tous. Ils ont crée le récital « Soirée en mer » à Paris sur la péniche le Bateau Daphné regroupant les plus belles mélodies de Gabriel Fauré et Camille Saint-Saëns en 2013, un récital mis en espace également autour de Jules Massenet au Théâtre du Ranelagh en 2014, ainsi que de nombreux spectacles « La folie à l’Opéra » lors des Rencontres musicales de Calenzana en 2018 , « une fête chez Monsieur Offenbach » en 2019, et « Hommage à Maria Callas » pour le festival San Giovanni in Cantu en 2019.
JULIA KNECHT (SOPRANO COLORATURA), OLIVIER CANGELOSI (PIANO)
Retour en images du concert donné ce matin jeudi 20 août 2020 près de l'église de Galéria.
Trés beau moment à l'ombre des arbre, les spectateurs présents étaient heureux du moment partagé.
SUONARE
Le quatuor avec hautbois, autant que le « duo des lunettes obligées », sont l’illustration de la plus grande variété des formations de musique d’ensemble qui portent pour ces deux pièces les plus grandes réussites. Mozart tout d’abord et son quatuor KV370 dont l’ineffable caractère et la sonorité du hautbois en font une des plus poétiques pages de la littérature classique. Le duo de Beethoven et les deux pièces pour violon seul renferment les plus grandes difficultés instrumentales que l’interprète doit dépasser pour en livrer les caractères parfois fantasques et humoristiques ou bien quasi religieux dans la sonate de Bach.
Bach Fugue en Sol mineur BWV 1005, violon.
Mozart Quatuor avec Hautbois, KV 370
Ysaïe Sonate n°3 violon.
Beethoven Duo avec deux lunettes obligées WoO 32 pour alto et contrebasse.
Laurène Durantel (contrebasse), Alexandre Gattet (hautbois), Antonin Le Faure (alto), Eric Lacrouts (violon), Marie-Paule Milone (violoncelle)
SOIREE RAVEL
Petit retour en images de la soirée consacrée à Maurice Ravel sous les oliviers des jardins de la chapelle Sainte Restitude dans le cadre des rencontres de Calenzana.
Ecouter le Boléro dans cette ambiance quelle chance...
Maurice Ravel, tout comme Bêla Bartoik en hégire, s’est emparé des traditions de musique populaires des régions ou cultures qui l’ont fasciné, offrant de vrais chefs d’œuvres autour de chants populaires grecs, hébraïques, écossais et corses. Il est l’un des rares compositeurs à les avoir imposés au répertoire de tous les musiciens classiques. Né à Ciboure, il sert son cher Pays basque puis nous livre l’un des plus grands chefs-d’œuvre de l’histoire de la musique de chambre : le Trio en la mineur crée salle Gaveau à Paris, pendant la première guerre mondiale, le 28 janvier 1915. Mais que dire de l’incontournable Boléro, certainement la pièce la plus jouée au monde ?
Tombeau de Couperin 13’
Pavane pour une infante défunte 6′
Trio en la mineur, piano, violon, violoncelle. 28′
Boléro 15’
Alexandre Pascal, Eric Lacrouts, Simon Milone (violons), Aurélien Pascal, Marie-Paule Milone (violoncelles), Denis Pascal (piano), Dominique Vidal (clarinette), Mathilde Caldérini (flûte), Julien Hardy (basson), Alexandre Gattet (hautbois), Manuel Escauriaza (cor), Laurène Durantel (contrebasse), Antonin Le Faure (alto)
Magnifique artiste que la belle Sandrine Luigi armée de son instrument au milieu des jardins de la chapelle Sainte Restitude à Calenzana. On en redemande encore et encore....
GUITARRA, DÍMELO TÚ
Guitarra, Dímelo Tú est un récital puissant et évocateur qui raconte la guitare populaire, des rivages de la Méditerranée aux pays sud-américains.
Au répertoire, Heitor Villa-Lobos, Agustín Barrios-Mangoré, Atahualpa Yupanqui, Antonio Lauro,et bien d’autres encore, tant de légendaires guitaristes et compositeurs qui nous racontent la
magie et la poésie de leurs cultures.
SANDRINE LUIGI (GUITARE)
17/08/2020 Juillet 2020
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