Le
moment où son livre voit enfin le jour, après beaucoup de doutes, d'interrogations et
de difficultés,
est pour un auteur un moment de grande émotion. Grâce
à Jean-Jacques Colonna d'Istria qui a accepté de soutenir ce projet, le
livre sera en librairie à partir du 10 août.
Colonna Edition a fait un travail magnifique,
avec notamment une couverture qui attire le regard,. Je n'aurais pu
rêver plus bel écrin pour cette réalisation qui me tient tant
à
coeur.
Les habitués de ce
site retrouveront bien sûr des éléments vus ça et là au fil des pages
de
l-invitu. J'ai néanmoins souhaité élaborer un ouvrage qui ne serait pas
la simple compilation de pages existantes.
Une
première partie suit les traces (Andati) de l'itinéraire du groupe, qui
prend sa source dans le renouveau connu sous le nom de riacquistu.
Le
point central de l'ouvrage est consacré aux rencontres : les
Rencontres de Calvi bien sûr, et celles des artistes qui ont marqué A
Filetta, de Bruno Coulais à Danyèl Waro.
Après ces deux
parties "historiques" sans être chronologiques, la dernière partie
traite de ce qui fait la spécificité d'A Filetta : chanter tendrement
des choses puissantes et puissamment des choses tendres. A travers ses
mots, son travail de création, les personnalités qui le composent, se
dessine ce qu'est A Filetta.
Le thème central du livre, c'est la dialectique entre tradition et
innovation, entre enracinement et ouverture.
A
Filetta est à la fois la quintessence du chant polyphonique corse, le
garant d'une certaine tradition, et aussi et surtout celui qui
a
osé s'éloigner de cette tradition pour créer quelque chose de nouveau,
tout en restant fidèle à ses origines.
En
écrivant cet ouvrage, j'ai souhaité avant tout exprimer ma vision
personnelle du groupe A Filetta et éviter toute complaisance.
Bien entendu, cette distance assumée n'enlève rien à l'amitié et à
l'admiration que j'éprouve à l'égard des membres d'A Filetta.
Source : Corse Matin du
9 août 2009
Communiqué de Colonna Edition :
Livre sur le groupe de musique corse A Filetta
Colonna édition vous annonce la sortie d’un ouvrage sur le célèbre groupe de musique Corse
A Filetta, dont le titre exact est : A Filetta, Tradition et ouverture, par Jean-Claude Casanova.
Le parcours d’un groupe atypique
L’auteur, qui se définit lui-même comme un amateur passionné, nous
présente le parcours atypique d’un groupe qui a depuis fait le tour du
monde et est réputé sur de nombreuses scènes. Que de chemin parcouru
depuis la création d’A Filetta en 1978 ! Si certains chanteurs ont
quitté le groupe pour s’orienter vers d’autres chemins de vie, A
Filetta a toujours su faire évoluer sa personnalité unique sur la scène
musicale tout en la préservant.
A Filetta - tradition et ouverture
Jean-Claude Casanova partage avec le lecteur la sensibilité d’un amoureux de la musique et d’une culture. Ce livre n’est pas la biographie d’un groupe mondialement connu, mais le témoignage d’un passionné qui porte sur la passion et se partage avec d’autres passionnés… Ou simplement des curieux ! Comment un chant, à l’origine identitaire, peut acquérir une dimension universelle et devenir source d’échanges et participer à la richesse d’un monde cosmopolite ?
Radio Corsica Frequenza Mora -
Plein Sud
Chaque
jour entre 18h et 19h, nous donnons la parole aux habitants, aux
figures, aux acteurs de la vie sociale et culturelle...
Mercredi 26 août
Avec Joëlle Orabona
18h : Jean-Claude
Casanova présente son livre : "A FILETTA, tradition et ouverture" chez
Colonna Editions.
Ecouter l'émission :
Cet article peut être téléchargé ici pour une meilleure lisibilité.
Nous
avons eu le grand plaisir de présenter, au sein de cette rubrique, le
site l’Invitu de Jean Claude Casanova (www.l'invitu.net) et d’échanger
avec lui sur la genèse et les prolongements qu’il comptait donner à son
entreprise…
Il s’était bien gardé de nous dire qu’il avait en projet un
ouvrage, un bel ouvrage sur le groupe «A Filetta » !
Nous ne
savions pas que cet amoureux sincère et passionné de notre terre avait
à ce point intégré ce goût pour l’omerta ! L’amour, dit-on, rend
aveugle, nous constatons aujourd’hui que la passion peut, elle rendre
muet.
Et muet nous le sommes aussi car ils sont assez rares les
ouvrages sur les groupes musicaux, un peu comme si le chant se
suffisait à lui-même !
Jean Claude réussit le tour de
force de faire aimer pour ceux qui n’aiment pas encore tout en faisant
adorer ceux qui aimaient déjà.
En véritable « praticien », il
porte un regard pertinent et une oreille attentive à ces jeunes gens,
tous issus du Riacquistu, mais qu’ils semblent aujourd’hui largement
dépasser pour se fondre dans ce vaste ensemble des musiques du monde.
Bien
plus qu’une simple monographie descriptive, l’auteur a réalisé la
prouesse de situer dans le temps et dans l’espace le projet de ces
artistes pas tout à fait comme les autres qui ne peuvent concevoir leur
art sans les notions d’échange et d’interaction. Belle démarche,
magnifique et louable ambition qui repose sur l’idée (parfois mal en
point par les temps qui courent) que toute culture implique non
l’enfermement mais le dépassement. C’est d’ailleurs ce point commun à
toutes les aires culturelles du monde qui fait d’elles des passerelles,
des ponts facilitant les rapprochements dès lors que l’on se donne la
peine de bien vouloir les traverser. Hors de cette transcendance,
inhérente à tout projet de qualité : point de salut mais le triste
constat d’un logos se métamorphosant en slogan, le slogan en catéchisme
et le catéchisme en prêt à penser pour hommes pressés…
L’histoire du groupe, de ses débuts hésitants à son éclatante réussite, nous fait découvrir des hommes simples et exigeants, conscients de leur talent mais aussi de leurs limites, des êtres que l’on regrette de ne pas connaître intimement tant le message d’honnêteté qu’ils diffusent semble leur seule et vrai nature. La seule en tout cas qui a bien pu leur permettre de passer sans encombre les embûches du long chemin initiatique qui va de l’ombre à la vraie lumière. Non point celle qui éblouit et se nourrit de paillettes mais celle qui éclaire et tente de nous rendre, à la fois, plus sensibles et plus intelligents.
A
Filetta, on le sait, a réussi son pari insensé. Jean Claude Casanova
vient de réussir le sien qui cache derrière le travail et la patience,
le grain de folie sans lequel rien ne se fait.
Et, puisqu’il
n’est jamais facile de réussir un premier livre, avouons à notre ami
qu’il vient de signer là un ouvrage dont on espère bien qu’il ne
demeurera pas un essai orphelin. Nous serions trop nombreux à le pleurer …
Au travail Jean Claude !
Norbert Paganelli
Ma modestie en prend un sacré coup, mais je ne peux faire autrement que de
publier la magnifique lettre de Françoise Coulomb à propos de ce livre.
Bien sûr, Françoise est une amie très chère. En outre, comme elle le
dit en introduction, elle a participé à sa gestation, notamment en
lisant attentivement le manuscrit et en me prodiguant des observations,
remarques et conseils toujours avisés.
Alors, oui, les
propos de Françoise sont quelque peu excessifs, l'amitié en est la
cause. Mais au-delà de l'incitation à lire "A Filetta, Tradition et ouverture",
ce qui fait le prix de ce beau texte, c'est avant tout la façon dont
s'exprime notre passion commune pour nos amis d'A Filetta.
Voilà, j’ai sauté le pas.
J’ai
hésité de longs mois, bloquée par le scrupule à parler de ton livre
alors même que tu me l’avais donné à lire et commenter pendant sa
gestation lente et tourmentée, mais voilà, j’ai enfin franchi mes
barrières stupides. Tant pis pour l’objectivité !
Comme tu
l’imagines, je serai forcément enthousiaste (tu vas même me trouver,
une fois encore, excessive, c’est certain !), mais plus que
l’enthousiasme, ce qui me pousse, c’est l’envie de donner le goût
irrépressible de te lire à tous ceux qui arpentent ton site, l’Invitu,
orpailleurs du chant polyphonique corse en général et d’A Filetta en
particulier !
D’abord, Jean-Claude, je ne te dirai jamais assez merci de l’avoir fait, ce livre !
Chaque
adorateur (les excès commencent !) d’A Filetta, pubère ou endurci, a
cherché très vite, obstinément, comme on quête le Graal, la trace de
l’existence d’un bouquin parlant de ces artistes incroyables qui ont,
un jour, franchi la porte de sa vie !
Ah, nous en avons écumé des
librairies, toi compris j’en suis sûre, en Corse et sur le continent,
pour mettre la main sur « the book » qui nous permettrait de nous
endormir la tête dans les étoiles, plus près que jamais d’eux, avides
de découvrir leur histoire, celle d’avant qu’on les rencontre enfin, en
maudissant ce foutu hasard qui ne nous avait pas permis de croiser leur
chemin plus tôt.
Nous désirions tous aussi les connaître autrement
que par les CD que nous avions recherchés comme des morts de faim dès
le premier concert vécu ! Bien sûr, il y avait le DVD de Don Kent mais
nous en voulions plus !
Et peut-être même que nous avions aussi rêvé, devant le vide désespérant des librairies, de nous lancer un jour dans l’aventure littéraire ! Rêve de fou aussitôt abandonné, raison et paresse obligent ! Mais toi, Jean-Claude, la raison, parfois, tu lui tournes le dos (la paresse aussi !) et ce qui avait furtivement effleuré nos pauvres cervelles, tu l’as fait et de quelle manière ! Tu l’as fait parce que tu n’en pouvais plus d’en rêver ! Trop fort !!!
Tu le sais, quand on a mis le doigt dedans, c’est comme la confiture de maman, on ne peut plus s’en passer, on devient accro, A Filetta-dépendant, on fait des kilomètres pour avoir sa dose. Toi, moi, d’autres, nous sommes devenus, à nos âges pourtant désertés par la prime jeunesse, et pour la première fois en ce qui me concerne, des groupies inconditionnelles, scotchées au calendrier des concerts et prêtes à toutes les traversées avec eux, sous les sourires affectueux et moqueurs de nos enfants un peu inquiets quand même !
Jusqu’à
l’arrivée de ton livre, nous n’avions rien à nous mettre sous les mains
pendant les inévitables et cruelles périodes de disette programmatique.
Je
dis sous les mains parce que côté oreilles et yeux nous en étions déjà
tous réduits à ménager l’usure des CD (ou à en racheter !) et du DVD
(joie intense, celui des 30 ans est arrivé fin 2009, quelle merveille,
merci Cathy !), passés et repassés, imprimés de leurs chants mais
aussi, c’est fou, des images virtuelles des concerts partagés tous
ensemble, inventées par chacun de nous. Cà s’appelle se faire son
cinéma !
Nous savons bien désormais l’effet magique d’A Filetta,
versant « parterre » du chapitre « Rencontres et ouverture » du livre :
la constitution improbable, spontanée, non maîtrisable, de la confrérie
des adorateurs de la Fougère, que rien n’aurait jamais pu faire se
rencontrer, sauf eux ! Des amitiés indéfectibles en sont nées et
c’est bonheur !!!
Donc, merci Jean-Claude, courageux corsaire photographique (çà c’est l’instant subliminal (*) !)
Mais revenons au cœur du sujet. Ton livre est indispensable pour des raisons moins délirantes !
D’abord,
et ce n’est pas futile pour moi, c’est un bel objet, de ceux qu’on
prend sans fin plaisir à tenir, à manipuler doucement et tes photos
sublimes qui l’accompagnent ne sont pas pour rien dans sa beauté qui
n’est pas seulement matérielle ! Les portraits inspirés que tu as
saisis d’eux lors de concerts, en groupe ou seuls, donnent des frissons
!
Je ne vais pas faire l’analyse exhaustive de
chacun de ses chapitres, ce serait stupide et sans intérêt, mais je
dirai que l’une de ses nombreuses richesses, tel le fil rouge d’un
script cinématographique, c’est, solidement arrimé à chaque époque de
leur trajectoire, le catalogue raisonné (dure, la mise à jour !) que tu
dresses de leur production artistique, avec gourmandise il me semble !
C’est proprement époustouflant et j’attire subjectivement l’attention
et l’émotion du lecteur potentiel que j’espère bien finir par
convaincre, sur le magnifique paragraphe que tu as écrit sur « Médée ».
«
Médée », leur « Médée », restera à jamais, pour moi et tant d’autres je
le sais, une des plus inouïes et belles choses qu’il nous ait été donné
d’écouter, d’entendre, de voir dans notre vie. Nous l’avons vu une
bonne dizaine de fois en concert et c’est sans doute le CD le plus usé
de nos bibliothèques musicales ! S’il fallait ne les aimer que pour une
seule chose, ce serait celle là ! Bouleversant !
Autre fil rouge
évident, l’incroyable boulimie créatrice du groupe qui explose de tes
pages : il est en accouchement perpétuel et nous avons parfois du mal à
le suivre, tant nous nous attardons sur chacun des cadeaux musicaux
qu’il nous fait ! A Filetta c’est un sprint marathonien, quarante
fois 100 m à fond ! Suivre A Filetta, au propre comme au figuré, ça se
mérite et ça réclame une grande forme !
Ton livre est l’histoire
de leur road-movie heureusement inachevé et une fois posé le regard sur
la ligne de départ, rien ne peut nous détourner du bonheur que tu nous
offres de découvrir et d’accompagner ces artistes incomparables là où
ils vont et nous invitent, hier, aujourd’hui, demain.
Forgé
par l’histoire, que tu rappelles avec clarté, de la polyphonie corse,
de la langue en danger, du Riacquistu et des luttes associées, leur
chemin, immergé dans le réel, est, de mon point de vue,
fondamentalement artistique.
L’itinéraire que tu racontes n’est
pas seulement celui d’un groupe qui habite et traverse des lieux, des
situations, un patrimoine, s’en nourrit pour grandir, c’est surtout, et
tu l’écris avec beaucoup de tendresse admirative, celui d’êtres humains
en quête permanente de la meilleure façon, pour eux et pour nous tous,
de se connaître, de vivre ensemble, malgré les différences, grâce aux
différences, sans jamais oublier d’où l’on vient et d’où l’on aurait pu
venir. Le hasard des racines qui nous charpentent doit nous rendre
universel.
Alors, la création par et hors les sentiers
traditionnels, l’ouverture aux autres formes d’expression culturelle,
aux autres cultures, deviennent une manière de penser et d’être
qui dépasse bien sûr le seul champ artistique ! Pas simple de vaincre
la force centripète qui nous ramène toujours à nous mais rien ne peut
les détourner du mouvement naturel vers les autres, A Filetta, comme
l’univers, est en expansion !
Le parcours que tu déroules à
travers les pages donne des clés lumineuses pour comprendre ce qu’ils
sont aujourd’hui, comment et pourquoi ils le sont devenus, et sans
doute aussi pourquoi ils seront demain autres et toujours eux à la
fois. Il devient évident sous ta plume que l’un des rares outils
d’échange et de paix avec l’autre, peut-être le seul, par delà la
barrière des langues et les conflits, c’est l’art et donc bien sûr la
musique et le chant. C’est pour çà que leur chemin, ouvert aux
bruissements du monde, est fondamentalement artistique.
Il faut
avoir vu l’incroyable présence mystique et joyeuse d’un ensemble
musical souffi marocain, au cœur de la cathédrale de la citadelle de
Calvi, pour comprendre définitivement cela.
C’était important que
tu racontes leur voyage, important de le tracer par des mots, et de
redire toujours la beauté sans fard de leurs chants et de leurs voix
incomparables (c’est mon point de vue et tu le partages !),
l’incroyable harmonie qui soude le groupe, l’arc magique de ces sept
hommes sur la scène sous la vigilante attention de Valérie sans qui
rien ne nous serait offert, leur gentillesse, leur drôlerie, leur
exigence envers eux-mêmes, leur humanité construite et nourrie par
toutes ces rencontres fondamentales qui nous rendent nous mêmes,
simples spectateurs ébahis, plus humains.
Car ce qui émane de tout
cela, ce que l’on perçoit en te lisant et, quand on en a la chance, en
les côtoyant, c’est non seulement la sincérité du bonheur qu’ils ont à
donner, donner et donner encore à ceux qu’ils rencontrent mais, et
j’espère qu’ils le savent, l’immense bonheur qu’ils procurent à tous
ceux qui les ont croisé et fait un bout de chemin avec eux et qui n’ont
qu’un désir : recommencer. Et pour notre bonheur à nous aussi,
souvent, ils recommencent !
Personne ne sortira jamais indemne d’une rencontre avec A Filetta, c’est une évidence et ton livre en est la preuve !!!
Comme
il est la preuve irréfutable et sans appel qu’A Filetta n’est pas un
groupe folklorique corse mais un prodigieux ensemble vocal universel,
il n’est qu’à regarder comme leurs concerts tissent de plus en plus de
liens sur la mappemonde ! C’est mieux de le dire !!
Ton idée
de l’écrire, ton parcours obstiné pour y arriver, la délivrance enfin
de le faire naître, je les ai vécus et je peux témoigner de l’endurance
qu’il t’a fallu pour l’accomplissement de ton rêve. Parce qu’il
s’agissait bien d’un rêve à matérialiser.
J’ai été passionnément
intéressée par tout ce qu’il y a dans ton livre mais plus que ça, il
m’a touchée, il m’a émue parce qu’au-delà de l’imposant et riche
travail qu’il représente, je sais qu’il est aussi et peut-être surtout
le cadeau que tu leur fais pour marque de ton attachement et en
remerciement des moments de joie incroyables qu’ils te donnent. J’ose
le dire, c’est une preuve d’amour que tu leur offres parce que tu les
aimes, comme nous tous bien sûr, mais c’est autre chose de plus
viscéral, de plus …, je ne sais pas le définir mais je sais que tu me
comprends. De la même façon que toi et moi nous n’aimons pas la Corse
pareillement, simplement parce que tu es Corse, même si nous l’aimons
tous les deux profondément.
Je voudrais pour terminer ma missive, raconter une petite histoire, vraie, belle !
C’était
le 26 septembre 2009 à la Cité de la Musique. Nous venions de vivre un
moment bouleversant, de pure émotion, grâce à « Apocrifu », avec Sidi
Larbi Cherkaoui, homme lui aussi universel, et comme nous en avons
instauré le rituel, nous partagions notre joie avec eux après le
spectacle. C’est toujours un moment très chaleureux, très fraternel et
nous butinons comme des abeilles de l’un à l’autre à la recherche de la
moindre goutte de miel. Jean Claude Acquaviva parlait avec un
couple et le monsieur qui tenait ton livre sous le bras lui en demanda
une dédicace ! Jean-Claude, en riant, a expliqué qu’il n’en était pas
l’auteur, mais le monsieur insistant, il est venu vers toi pour avoir
l’autorisation de la faire mais avec ta participation !
Tu étais
hilare, Jean-Claude, mais ce soir là, dans tes yeux, je suis sûre
d’avoir vu des millions d’étoiles !!! Amour dit-elle, vous comprenez ?
Voilà, ma lettre se termine et j’en suis toute chose !
Très amicalement
Cecca (**), comme tu l’as décidé !
Explications du webmaster :
(*)
Cette "private joke" sera comprise par les visiteurs assidus de l'invitu depuis la mise en ligne de certaine photo !
(**) c'est le diminutif affectueux de Françoise !
Le reportage de France 3 Corse (Dominique Spinosi) est visible ici :
A Filetta - Tradition et ouverture
aux Journées du Livre Corse
Du 13 au 15 novembre à l'Espace Cyrnea, 38 allée Vivaldi - 75012 PARIS
Je dédicacerai le livre samedi 14 entre 15 et 19 h.
A Filetta - Tradition et ouverture samedi 21 novembre à la librairie Henri IV
15 boulevard Henri IV, Paris 4e
Voir aussi la Page Facebook
Le livre est à présent difficile à trouver. Il m'en reste quelques exemplaires, et vous pouvez passer commande (20 € port compris) en utilisant l'onglet "Contact" en haut à droite de la page d'accueil.
http://www.afiletta.com
Pour joindre directement A Filetta :
Contact A Filetta :
contact.afiletta@gmail.com
A Filetta : témoignages
Actualité et archives
Chants : les textes des chants
Concerts avant 2006
Concerts 2006
Concerts 2007
Concerts 2008
Concerts 2009
Concerts 2010
Concerts 2011
Concerts 2012
Concerts 2013
Concerts 2014
Concerts 2015
Concerts 2016
Concerts 2017
Concerts 2018
Concerts 2019
Concerts 2020
Concerts 2021
Concerts 2022
Concerts 2023
Discographie : tous les disques en détail
Repères chronologiques : A Filetta de 1978 à aujourd'hui
Parole : Les mots d'A Filetta (interviews, entretiens…)
Galerie photo
haut de page accueil plan du site page précédente