Galerie photo : A propos - mon équipement, ma pratique de la photo

Dernière mise à jour de la page : 10/05/2025

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Comme je l'indique sur la page principale, j'ai de multiples passions qui s'enchevêtrent : la Corse et sa musique, la randonnée, et je suis depuis très longtemps un passionné de photo. De ce fait les photos de Corse et les photos de concerts représentent une part importante de cette galerie. Mais pas seulement : j'aime aussi les voyages, la nature et le théâtre.
En résumé, je pratique surtout de la photo de voyage ou de paysage, ainsi que celle de concerts.

 

scandola

 

Mon matériel

J'ai commencé la photo avec un Instamatic Kodak, puis mon premier reflex 24x36 fut un Zenit E. J'ai eu aussi un 6x6 Yashica.
Puis je me suis équipé en Canon : d'abord un FT, puis un EF, et enfin un A1 et un T70. Je suis passé ensuite des optiques FD aux EOS avec un EOS300. Jusqu'à ce que je me décide enfin, après bien des réticences, à passer au numérique. Un petit compact Olympus pour commencer, puis un Lumix compact. Les photos étaient bonnes mais le plaisir de la photo n'était plus là. Je me suis alors équipé d'un réflex Pentax, qui m'a donné de bons résultats mais était encombrant et très bruyant. Rédhibitoire en concert !

Prenant beaucoup de photos de spectacles, j'ai vite renoncé au reflex à cause du bruit du déclenchement. Les compacts "standard" tels que mon Lumix TZ5 ont vite montré leurs limites, surtout en faible lumière, avec une montée du "bruit" numérique, conséquence de leur capteur minuscule. J'ai alors découvert les hybrides, avec la série G de Lumix qui me rappelle les reflex, le poids et l'encombrement en moins. Je me suis donc orienté vers la série G avec l'acquisition d'un Lumix G1 doté de deux zooms. La qualité est meilleure mais... les premiers modèles de la série G n'étaient pas silencieux ! Malgré l'absence de miroir, l'obturateur fait un déclic nettement audible. J'ai alors craqué pour un compact "expert", un Lumix LX5, capable de prendre des photos pas trop bruitées en basse lumière. Cet appareil se révèle excellent à la condition expresse d'être très près de la scène. En effet, son zoom est lumineux mais n'a pas une amplitude importante.
Enfin, Panasonic a inventé l'obturateur électronique ! Le G5 (et les modèles suivants : G6, G7, G80...) est, si on met en service l'obturateur électronique, totalement silencieux. Il accepte évidemment les optiques du G1 (ainsi que les objectifs Olympus). J'ai ajouté aux deux zooms un "pancake" fixe de 20 mm au "piqué" excellent et récemment un 30 mm macro. Et j'ai complété le tout avec un GF5 puis par un second G5.
À la suite d'un petit bain inattendu, j'ai dû remplacer l'un de mes G5 par un G6, et j'ai remplacé le zoom "série" 14-42 par un zoom 14-140 récemment complété par un 100-300.

Puis j'ai remplacé le G5 par un G80. J'ai également remplacé le LX5 par un LX100. Enfin, j'ai fait l'acquisition d'un deuxième G80, idéal pour ne pas changer trop souvent d'objectifs !

Je me suis récemment essayé à la photo animalière, notamment à celle d'oiseaux. Mais je me suis rapidement rendu compte que mon zoom Lumix 100-300 n'offrait pas un grossissement suffisant pour photographier les oiseaux. Lumix ne propose qu'un téléobjectif plus long, le Leica DG Vario-Elmar 100-400 mm / F4,0-6,3 qui coûte une petite fortune. Après réflexion, j'ai décidé de compléter mon matériel par un reflex AF-S me permettant d'avoir un zoom plus important pour un prix plus modique. J'ai eu recours au marché de l'occasion qui m'a permis d'acquérir un Nikon D7100 équipé d'un AF-S Nikkor 18-105 mm complété par un Sigma 150-600 mm.

Evidemment, je n'utilise pas tous ces appareils simultanément. Je choisis mon matériel en fonction de mes activités. Dans certains cas, notamment en randonnée, je prends les deux G80, chacun équipé d'un zoom. Bien sûr, c'est un peu encombrant, mais cela évite de changer d'objectif tout en disposant de toute la gamme des focales, avec une très bonne qualité d'image. Pour les photos de paysage ou d'animaux j'utilise le Nikon.
Dans d'autres cas je n'utilise que le LX100 qui est un appareil presque universel, juste un peu court en focale. Il est très pratique quand on ne veut pas se charger et également en photo de spectacle à condition d'être assez près.


Panasonic Lumix G80

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Le Lumix G80 reprend à peu de chose près la carrosserie de son prédécesseur G7, avec une différence bienvenue: sa construction tropicalisée.
Cela se traduit physiquement par une coque avant en alliage de magnésium, un logement de carte séparé de celui de la batterie (laquelle a droit à un verrouillage de trappe par levier) et un poids supérieur de 25% à celui de ses prédecesseur.
La finition est soignée, le gainage de caoutchouc enveloppant et le dessin de la poignée assurant une bonne prise en main.

D'une manière générale, l'ergonomie est agréable, avec un niveau de personnalisation très poussé. En revanche, Panasonic nous y a habitués, les menus sont très touffus : pas moins de 163 items !

Fluide, précise, sans effets de scintillements, de pixellisation ou d'arc-en-ciel, la visée électronique OLED du G80 offre un grossissement très correct de 0,74x. Un des modes d'affichage exile toutes les infos dans un bandeau, dégageant totalement la visée.

L'écran dorsal pivotant s'avère quant à lui fort pratique pour la vidéo, pour les points de vue en extension et pour protéger la dalle lors du portage. Déployé sur la gauche, il peut également faire office de pad tactile pour placer, l'œil au viseur, l'un des 49 collimateurs AF au bon endroit.

À noter qu'il est possible de désactiver la fonction AF tactile, afin d'éviter les promenades intempestives du collimateur dès qu'il n'est pas surveillé...

Un boîtier nerveux

La mise au point est très rapide, le déclenchement étant pratiquement instantané même au télé. Boîtier éteint, il ne faut pas plus de 0,8 s pour obtenir une image. La stabilisation du capteur, qui fait entendre un léger zonzonnement, sait fonctionner en tandem avec les objectifs O.I.S et assure une convaincante réduction du bougé.

La 4K

Si le classique barillet de modes (deux mémorisations de configuration) trône sur l'épaule droite, celle de gauche porte le barillet des modes d'entraînement avec leurs talents cachés. Depuis le G7, les Lumix profitent en effet de la définition 4K (Ultra HD pour être précis) de leur vidéo pour des applications photo: pré-enregistrement en continu de 30 images sur une seconde de temps, choix a posteriori de la zone de mise au point (le "post-focus", qui effectue un bracketing AF) et focus stacking.
Ce dernier fusionne des vues sélectionnées dans le bracketing AF pour étendre la profondeur de champ à tout ou partie de l'image. Une fois sa logique intégrée, cette fonctionnalité présente de nombreux champs d'application (en "macro" par exemple).
Un trépied est toutefois conseillé: malgré la rapidité de la rafale, des artefacts apparaissent en cas de bougé à main levée ainsi que sur les zones mobiles.
Tous les modes "4K Photo" génèrent des images de 8 et non pas 16 MP. Les modes d'entraînement recèlent également des rafales à 9 i/s en pleine définition avec suivi AF (et jusqu'à 40 i/s en 8 MP sans visée directe) et un intervallomètre qui sait faire du time-lapse.

Qualité d'image

Le G80 reste fidèle aux 16 MP des générations précédentes. Si cette définition peut sembler aujourd'hui un peu juste, elle n'en permet pas moins des sorties 60x45 cm détaillées. D'une part, le capteur omet le filtre passe-bas, d'autre part le processeur appuie lourdement sur l'accentuation par défaut. Cela dope la sensation de netteté en périphérie d'image avec les objectifs manquant d'homogénéité mais risque de créer un surlignage des détails contrastés du centre. Cet excès de netteté peut être corrigé dans les sous-menus de "style d'image". En montant dans les sensibilités le bruit devient perceptible de façon discrète à partir de 3 200 ISO, 6 400 étant encore tout à fait exploitables.

Conclusion

Bien construit, ne craignant ni la pluie ni les embruns, très personnalisable, le Lumix G80 rassemble les dernières avancées technologiques de la marque : stabilisation du capteur sur 5 axes, mode 4K photo... Son ergonomie physique agréable, son viseur précis, son écran tactile orientable et une grande réactivité rendent ce G80 efficace sur le terrain.

Panasonic Lumix LX100

lx100

Le LX100 est le successeur du LX7. La collaboration entre Panasonic et Leica n'a jamais été aussi frappante qu'à travers le LX100.

On retrouve sur l'objectif une vraie bague de diaphragme bien crantée, une bague programmable multifonction, un sélecteur AF/AF Macro/MF. Sur le capot, le strict minimum : une vraie molette de vitesse, un correcteur d'exposition et un déclencheur.
Pour passer en mode "Programme", il suffit de positionner la bague d'ouverture et la molette de vitesse en position automatique (le A rouge).
Pour passer en mode "Priorité vitesse", il faut fixer une vitesse et laisser l'ouverture en automatique. Pour la "Priorité ouverture", c'est l'inverse. On retrouve au sommet de l'objectif le traditionnel commutateur multiformat (1:1, 3:2, 4:3, 16:9).

Sur le capot viennent prendre place deux petits boutons, judicieusement disposés : l'un offre un accès direct aux filtres, l'autre aux modes iA "tout automatique".
Au dos, nous retrouvons les habitudes de Panasonic : trois touches Fn, un menu rapide très complet et majoritairement personnalisable. L'écran LCD de 7,6 cm et 921 000 points au ratio 3:2 n'est ni tactile, ni orientable. Le viseur LCD emprunté au GX7, quant à lui au ratio 16:9, est globalement satisfaisant.

Le zoom a un comportement très homogène sur l'ensemble de la plage focale et des ouvertures. Le meilleur piqué est obtenu en fermant entre f/2,8 et f/5,6 quand les résultats optimaux surviennent en position 50 mm.

L'aberration chromatique est bien maîtrisée, le modelé est satisfaisant mais le piqué dans les coins ne parvient jamais à totalement égaler le centre.

Le capteur CMOS, dérivé de celui du Lumix GH4, distille une belle montée en sensibilité, se pliant volontiers à la prise de vue à 1600 ISO et même, pour les habitués du développement RAW, jusqu'à 3200 ISO. Au-delà, le lissage devient visible. Le rendu des couleurs est bon, peut-être un peu saturé par défaut, mais c'est mieux que l'inverse.

Pour moi, le Lumix LX100 est vraiment une réussite : un capteur 4/3" et un zoom lumineux 24-75 mm f/1,7-2,8 offrant une excellente qualité d'image (au niveau de la série G), la présence d'une bague de diaphragme et d'une molette de vitesse (comme sur un appareil photo d'avant !), un autofocus réactif, la synchro-flash à toutes les vitesses et une excellente qualité de construction dans un gabarit relativement compact (mais il ne tient pas dans une poche de veste !)

Les quelques points faibles sont l'écran ni tactile (je m'en passe très bien) ni orientable et de surcroît non protégé, sa connectique un peu limitée (pas d'USB 3.0, pas de prise casque ni micro) et son flash séparé.

Pancake 20 mm

obj20

L'objectif Lumix G 20mm f/1.7 asph. dit "pancake (« crêpe »), à distance focale fixe de 20 mm correspondant à 40 mm au format 24x36, convient bien aux photos en instantané, de paysages et d’intérieur.
Léger, compact et abordable, cet objectif est un bon choix pour la photo de paysages ou de rue.
Son ouvertureà F/1.7 élargit ses possibilités d’utilisation dans de mauvaises conditions d’éclairage et augmente les possibilités de création en tirant avantage de la profondeur de champ.

Le piqué est excellent dès la pleine ouverture. Seul défaut, la distorsion assez importante.
Il lui manque la stabilisation mais franchement ce n'est pas un défaut important.

Sa conception optique complexe se compose de 7 lentilles réparties en 5 groupes, dont 2 éléments asphériques. Celles-ci assurent une distorsion et une erreur chromatique minimales, de même qu’une grande netteté régulière, jusque dans les coins de l’image.

Très bel objectif qui se caractérise, malgré sa forte intensité lumineuse, par sa construction particulièrement compacte et plate, et son poids léger.

Lumix 30 mm f/2,8 macro

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La gamme Micro 4/3 est un peu légère en matière d’objectifs dédiés à la macro. Panasonic propose un Leica 45 mm f/2,8 stabilisé (au prix Leica), Olympus un excellent 60 mm f/2,8.

Ce 30 mm offre le rapport 1:1, avec une distance minimale de mise au point de 10,5cm (depuis le capteur, ce qui fait environ 5 cm entre le sujet et l'objectif).

Certes, cette focale a un petit inconvénient : obligeant à s'approcher très près du sujet, il faut veiller à l'ombre portée par l'objectif, et cela peut aussi être gênant pour la photographie d'insectes.
En contrepartie, il est moins encombrant, très léger (180 g) et surtout moins cher que ses prédécesseurs.

La focale de 30 mm étant très polyvalente, c'est aussi un excellent objectif pour le paysage ou le portrait. Son ouverture de 2,8 permet de réussir de bonnes photos en ambiance peu lumineuse (musées, spectacles), d'autant plus que l'objectif étant doté d'un stabilisateur, celui-ci permet de gagner 2 diaphs et demi.

En prise de vue très rapprochée la mise au point de l'appareil est souvent mise en défaut ; il faut alors passer en manuel. Je conseille pour cela d'utiliser un des menus personnalisés, ce qui évite de devoir repasser par le menu ou le menu rapide.

En conclusion, 'utilise volontiers ce 30 mm f2,8 macro pour la macro mais aussi pour la photo de spectacle. Globalement il me satisfait pleinement.

Lumix 14-140 mm f/3,5-5,6

z14-140

Équivalent à un 28-280 mm en 24x36, ce zoom 14-140 est un objectif d'une grande polyvalence qui me permet de sortir le plus possible avec un seul appareil. Pesant seulement 265g, cet objectif est léger et compact, surtout pour un zoom 10x.

Sa longueur double quand il est zoomé au maximum. Le zooming est doux, sans à coups.

La mise au point est interne, ce qui fait que les filtres (diamètre 58mm) ne tournent pas. Un atout quand on utilise un polarisant.

Sa mise au point minimale autorise les plans serrés sur de petits objets ou sur des structures de matière.

Le stabilisateur (Power Optical Image Stabiliser) s'active via un commutateur sur l'objectif. Il permet de prendre des photos nettes à main levée à 1/20sec à 140mm, soit un gain de 4 diaphs!

Un objectif à (presque) tout faire, qui me semble bien meilleur dans les courtes focales que le 14-42 "standard". Son piqué est toutefois inférieur à celui des focales fixes.

Lumix 100-300 mm f/4,0-5,6

z100-300

La première chose qui frappe avec le Lumix 100-300 c'est sa compacité ! Un peu plus de 500 grammes pour l'équivalent d'un 200-600 en 24x36 !
On peut photographier de très loin en toute discrétion et sans trop alourdir son sac photo. L'ouverture de f/4.0-5.6 de cet objectif permet de travailler dans une variété de conditions d'éclairage tout en conservant un design compact et léger. L'utilisation de la technologie ASPH (Aspherical Lens) garantit une excellente qualité d'image, en éliminant les aberrations sphériques et en améliorant la résolution.

Doté du Power OIS (Optical Image Stabilizer), cette optique photo offre une très bonne capacité de stabilisation, idéale pour réduire les flous de mouvement lors de prises de vue à main levée.

L'objectif est construit avec une structure résistante aux intempéries Sa plage de zoom, allant de 100mm à 300mm, offre une grande polyvalence.

C'est un complément idéal au 14-140.

Sigma 60 mm f/2,8

sigma

Il me manquait, notamment pour la photo de spectacle, un petit téléobjectif lumineux. Il n'en existe pas beaucoup en micro 4/3, mais j'ai trouvé le Sigma 60mm f2,8.

A défaut d'offrir une ouverture record qui aurait eu comme effet de faire exploser le poids et les dimensions, ce petit téléobjectif à l'ouverture certes modeste de f/2.8 profite de très bonnes lentilles. Le piqué est très bon dès la pleine ouverture, les aberrations chromatiques sont indétectables à l'œil nu en jpeg.

Le vignettage est très léger à f/2.8 et disparaît totalement dès f/4. La diffraction commence à se faire sentir à f/10 et s'avère très présente à partir de f/13 (les clichés deviennent alors trop vaporeux).

Conclusion : Excellente optique, surtout compte tenu du petit prix. Les meilleurs résultats se situent pour une ouverture entre f/4 et f/8.
Dépourvu de lentille de stabilisation, il convient de le monter sur un boîtier dont le capteur est stabilisé, notamment tous les appareils Olympus et chez Panasonic uniquement les appareils de dernière génération : les Lumix GX7, GX8, G80, GX80, etc.

Le rapport qualité optique/prix du Sigma 60 mm ART F2.8 DN en fait un objectif à recommander sans réserve.

Nikon D7100

Le Nikon D7100 n'est certes pas tout neuf : il a été mis sur le marché en 2013. Mais à l'époque il constituait le haut de gamme DX Nikon.

Caractéristiques principales

Le Nikon D7100 est pourvu d’un capteur APS de 24,1Mp. Avec ce capteur 24Mp, Nikon annonçait des résultats saisissants en termes de définition d’image, de précision des détails dans les chevelures par exemple.

La particularité du D7100 est de ne pas comporter de filtre passe-bas, ou filtre AA pour Anti-Aliasing, et de ne pas proposer d’alternative. Sans le filtre, l’image est mieux définie, plus riche en micro-détails. Le risque de moiré sur l’image existe mais il est très réduit.

Le buffer d’images est donné pour 100 vues en JPG 24MP, 7 vues en RAW 12 bits 24MP et 12 vues en RAW 12 bits avec recadrage x1.3.

Le D7100 propose une plage de sensibilité démarrant à 100 ISO pour atteindre 6400 ISO de façon nominale. Cette valeur maximale est toutefois débrayable et le D7100 peut grimper à .. 25 600 ISO!

Le D7100 dispose du module AF à 51 points et Suivi 3D. Ce module utilise un capteur à 2016 photosites et 15 collimateurs en croix au centre de l’image. La mise au point est également améliorée en mode de visée Live View, cet AF par détection de contraste est annoncé comme plus rapide, plus facile et plus précis.

En outre, il propose un mode de recadrage x1.3 qui diminue la définition à 15,6Mp et autorise une cadence un peu plus élevée, les 7vps sont alors possibles. Dans ce mode les 51 points AF occupent alors l’intégralité du champ, voire même un peu plus selon la marque, la réactivité du boîtier est alors encore plus grande. Ce mode devrait convenir aux photographes animaliers par exemple qui cherchent avant tout une grande vitesse AF et un déclenchement très rapide avec la possibilité de recadrer pour gagner en équivalent focale.

Le D7100 dispose d’un viseur optique dont la couverture est annoncée par Nikon comme proche de 100% sans toutefois atteindre cette valeur. Le grossissement est de 94%.
L'écran du D7100 a 1.229.000 points pour une diagonale de 8cm (3,2 pouces). L'écran du D7100 est fixe, ce qui participe à la robustesse d’ensemble du boîtier,

Le D7100 peut shooter à la vitesse maximale de 6 vues par seconde.

Le système de nettoyage du capteur est automatiquement sollicité lors de la mise en route et de l’arrêt du D7100.

Avec une définition de 1920×1080 et une cadence pouvant atteindre 60i (50i en mode recadrage x1.3) et 30p/25p/24p, les vidéastes devraient être comblés. La sortie flux brut disponible sur les modèles haut de gamme FX est également présente sur ce boîtier. Le D7100 dispose d’un micro stéréo intégré, de deux prises mini-jack dont une permettant de brancher un casque et l’autre un micro externe.

Le mode vidéo autorise l’utilisation de sept effets spéciaux à la prise de vue accessibles via la molette supérieure : Couleur sélective, Miniature, High-key, Low-key, Silhouette, Dessin couleur et Vision Nocturne.

Description

La commande d’enregistrement vidéo est décalée sur le dessus du boîtier et laisse la place à un commutateur Live View plus simple à utiliser. Une touche « I » permet d’accéder directement aux fonctions les plus utilisées qui ne sont pas accessibles par une touche ou un commutateur.

La molette supérieure gauche présente les fonctions : modes de prise de vue, modes personnalisés, cadence de prise de vue.

Les commandes du boîtier sont regroupées dans cinq zones principales :
• La poignée regroupe le déclencheur, les molettes avant et arrière, un écran d’informations, deux fonctions d’exposition et une commande d’enregistrement vidéo. .
• La face avant présente les fonctions de flash, bracketing, autofocus et libération de l’objectif, aperçu de profondeur de champ (Pv), touche personnalisable (Fn) et
illuminateur d’assistance AF ; la grande molette permet le choix des modes d’exposition, et la couronne inférieure permet de sélectionner des modes de déclenchement
• Les touches latérales à gauche assurent les fonctions de lecture des images, de recours au menu, ainsi que les fonctions secondaires de paramétrage de la balance des blancs, de la sensibilité et du format de fichier. Une touche (i) permet d'accéder directement aux raccourcis.
• Les commandes latérales droites donnent accès au sélecteur multidirectionnel, à la touche Info et à la commande Live View.

Les écrans de contrôle
Le D7100 propose trois écrans de contrôle pour piloter ses réglages :
• les informations affichées dans le bas du viseur, que l’on active en pressant le déclencheur à mi-course ;
• l’écran supérieur noir et blanc, qui présente les informations essentielles ;
• un affichage d’informations plus complet sur l’écran arrière, que l’on active en pressant la touche INFO (en bas).
Ce dernier propose en outre des raccourcis vers les commandes de menu listées dans la partie basse auxquels on accède directement en pressant la touche i, même si l’écran arrière n’est pas allumé. Vous pouvez alors parcourir les options disponibles avec le sélecteur multidirectionnel, et accéder directement à leur configuration en pressant la touche OK.
Il est possible de régler la luminosité de l’affichage de l’écran arrière, notamment en cas d'environnement trop lumineux, dans l’onglet Configuration > Luminosité du moniteur.
Vous pouvez également réaliser directement cet ajustement en affichage vidéo Live View (Lv) en pressant la touche

L’organisation des menus

Les menus sont organisés sous formes d’onglets (Visualisation, Prise de vue, Réglages perso., Configuration, Retouche, Réglages récents). Vous pouvez naviguer dans ces onglets et leur contenu à l’aide du sélecteur multidirectionnel : les flèches horizontales permettent d’entrer ou de sortir d’un menu, les flèches verticales permettent un déplacement dans les onglets ou au sein des menus.
Le menu Réglages perso. propose le plus grand nombre d’entrées, c’est pourquoi il est organisé en chapitres pour un accès plus aisé aux options. Toutefois, il requiert une bonne pratique pour savoir dans quel chapitre se trouvent les fonctions recherchées. La richesse de personnalisation offerte par le D7100 en fait un appareil adapté à une multitude de situations et d’utilisateurs. Cette polyvalence se paie par un apprentissage nécessaire pour savoir faire le tri dans ces fonctionnalités. Au fur et à mesure, on constate que certaines commandes du menu sont en revanche indispensables. On peut alors envisager de créer sone propre menu personnalisé, dans le dernier onglet du menu.
Ce dernier propose deux interfaces, que l'on sélectionne dans « choix de l’onglet ».
Le mode Menu Personnalisé permet d’ajouter les éléments dont on a le plus couramment besoin, et simplifie donc la navigation : plus besoin de réfléchir (voire de noter) où se trouvent les réglages favoris, il suffit de venir directement dans cet onglet pour les retrouver. On peut même hiérarchiser ces différents éléments, en mettant en tête de liste les plus importants.
Dans un premier temps on pourra préférer l’option Réglages récents, qui ajoutera automatiquement dans la liste les derniers accès aux différents menus.
Enfin, il existe une aide contextuelle au sein des menus, par le biais de la touche (?), qui permet d’afficher le rôle du réglage actif et le détail des options proposées. De même, dans les modes EFFECTS et SCENE, cette touche expliquera le but du mode choisi (sur l’écran arrière, activé par la touche i).

Comme il est fastidieux de configurer finement l’ensemble de l’appareil, une fois ce travail effectué, enregistrez vos réglages sur une carte mémoire, de manière à pouvoir les recharger à tout moment. C’est possible dans le menu Configuration > Enregistrer/charger les réglages> Enregistrer les réglages.
Enfin, il est conseillé de configurer les touches en fonction de l'usage. Par exemple, pour changer fréquemment de format d’image, plutôt que de refaire systématiquement la même navigation dans les menus ou passer par le raccourci de la touche i, on peut affecter une touche à ce choix pour un accès plus rapide et plus ergonomique. Les touches Pv, Fn et Bkt peuvent être affectées à de nombreuses tâches et disposent d’un raccourci vers leur configuration sur l’écran arrière. Il est même possible, pour ces touches, de choisir un accès direct au premier élément du Menu personnalisé, ce qui étend énormément les capacités de personnalisation de ces commandes.
L’onglet Retouche permet d’appliquer jusqu’à 19 traitements différents aux images stockées sur la carte ou de faire de l’édition de séquence vidéo, sans devoir passer par l’ordinateur. L’appareil ne modifie jamais le fichier original, mais génère une copie au format JPEG prenant en compte les modifications.

Le D7100 propose une grande richesse d’options de contrôle sur l’autofocus, de manière à s’adapter à n’importe quelle situation, comme à tout photographe...
La mise au point AF est réalisée par un module dédié situé dans le bas du boîtier, par prélèvement d’une petite partie de la lumière ayant traversé l’objectif, le reste étant envoyé vers le dépoli de visée.

Pour s’aider dans la recherche de mise au point, un illuminateur d’assistance situé sur la face avant peut être sollicité automatiquement par le boîtier, mais il ne présente qu’une portée de 3 mètres environ et sera donc totalement inutile au-delà, voire gênant. C’est pourquoi il est possible de le désactiver dans le menu Réglages Perso.> Autofocus (a) > Illuminateur d’assistance AF (a7), ce que je vous conseille de faire par défaut. Il suffira de se souvenir de son existence si vous êtes dans une situation de faible lumière et que cette diode est susceptible de vous aider...

L’appareil propose un grand nombre de points d’analyse de la mise au point, appelés « collimateurs », bien répartis sur l’ensemble du champ photographié. Ils sont 51 au total, vous pouvez les utiliser seuls ou en groupe pour un suivi de mise au point.
Le maillage formé par ces 51 points AF est extrêmement serré, et il est concentré dans la zone centrale du viseur. Cette couverture dense permet d’assurer un suivi du sujet très fiable, mais peut sembler un peu juste pour suivre des sujets excentrés. Dans ce cas, on peut préférer passer en format d’image ×1,3, pour lequel les collimateurs occupent quasiment tout le cadre. Ce besoin coïncidant souvent avec une prise de vue d’action pour laquelle les longues focales sont requises, ce recadrage ne présenterait ainsi que l’inconvénient de limiter la définition à 16 millions de pixels, tout en faisant passer la capacité de la rafale de 5 à 6 images par seconde environ. Toutefois, le fait de limiter dès la prise de vue le cadrage ne rendra pas plus facile le suivi du sujet en mouvement, et on peut tout à fait s’astreindre à cette gymnastique, qui consiste à maintenir tant bien que mal le sujet dans la zone couverte par les collimateurs, sans pour autant bri der la définition, quitte à recadrer ensuite le fichier, au besoin.

La mise au point manuelle est évidemment toujours possible, mais dans la pratique de reportage le résultat sera souvent moins bon qu’en utilisant l’autofocus (si celui-ci est bien réglé !). En effet, malgré le beau viseur couvrant 100 % du champ photographié, la taille réduite du capteur de format DX et l’absence d’aide visuelle à la mise au point manuelle rendent l’opération un peu fastidieuse et aléa toire... Ce type de mise au point sera donc plus pertinent en prise de vue d’objets de type nature morte ou en paysage.
Si la mise au point manuelle est préférable, voire nécessaire, avec un objectif ne bénéficiant pas de l’autofocus (Nikon Ai ou PC-E, Zeiss, Voigtländer, Samyang…), vous bénéficiez d’une assistance télémétrique dans le viseur, dans la partie gauche des informations. Lorsque vous tournez la bague de mise au point, une flèche vers la droite apparaît s’il faut tourner la bague vers la droite (mise au point plus lointaine), ou bien une flèche vers la gauche dans le cas contraire (mise au point plus proche).
Lorsque la mise au point est bonne, un rond vous le confirme, et si les deux flèches s’affichent simultanément, l’appareil signale qu’il n’est pas en mesure de réaliser son analyse en raison d’un manque (ou excès) de lumière, d’une absence de contraste ou d’une mauvaise orientation du sujet.
Attention toutefois avec les objectifs très lumineux, la tolérance d’affichage du point vert paraît un peu large pour travailler à pleine ouverture, et l’obtention de la netteté optimale dans ces conditions peut être très délicate et subtile. L’autofocus rencontre le même genre de problème avec ces ouvertures extrêmes, puisque l’AF des objectifs ouvrant à ƒ/1.4 est moins véloce que celui des objectifs moins généreux en luminosité…
En outre, le moindre mouvement du sujet ou du photographe peut faire perdre le point.

Il peut être intéressant de quitter le mode AF pour une mise au point manuelle en situation de photographie d’action. L’idée n’est pas d’ajuster la bague en permanence, mais de prédéfinir la distance de mise au point pour ne plus avoir à en changer, améliorant ainsi la cadence du mode rafale, et évitant que l’appareil ne décroche du sujet dans son suivi, puisqu’il n’en fait pas ! Vous déterminerez la distance de mise au point suivant une des deux méthodes suivantes :
- évaluer à l’avance l’endroit où passera le sujet et faire la mise au point à ce niveau de la scène ;
- faire une mise au point « moyenne » englobant une certaine profondeur de champ, et choisir un diaphragme assez fermé pour augmenter la profondeur de champ.
On retrouve ce principe en plus élaboré sur certains téléobjectifs bénéficiant d’une commande de mémorisation de la distance de mise au point, tels que le 200400 mm ƒ/4 VR, très utilisé par les photographes animaliers. Une fois cette commande réglée, une pression sur la touche de rappel de mise au point située à l’avant suffit à repositionner instantanément la bague de mise au point à l’endroit voulu, sans avoir à désactiver l’autofocus

Premières impressions après quelques utilisations

Le Nikon D7100 inspire immédiatement confiance avec sa finition de qualité supérieure. Evidemment, le poids et les dimensions sont plus importants que sur un Lumix. Mais l'ergonomie est excellente : les commandes sont bien placées, rendant l’accès aux différentes fonctionnalités fluide et intuitif. Le sélecteur de mode et la molette de réglage, disposant d’un verrou, permettent d’éviter toute modification accidentelle, assurant ainsi une utilisation optimale en toutes circonstances.

Le viseur est sensiblement plus lumineux que celui du Lumix. J'ai pu photographier avec des lunettes de soleil, chose quasiment impossible avec le Lumix !

La résolution du capteur de 24, 1 mégapixels permet d’obtenir des clichés d’une qualité professionnelle. Les possibilités de recadrage sont vastes sans perte de qualité notable. De plus, le Nikon D7100 excelle dans la gestion du bruit à haute sensibilité ISO, offrant des performances plus que satisfaisantes même en basse luminosité. Le système autofocus est particulièrement impressionnant, avec 51 points (dont 15 croisés), garantissant une mise au point rapide et précise sur un sujet, même en mouvement.

Evidemment, le paramétrage est assez complexe mais une fois fait, la photo devient très facile.

L'autonomie varie entre 700 et 950 photos

Les seules limitations par rapport aux modèles plus récents sont l'absence de Wi-Fi intégré, le buffer un peu limité, la sensibilité maximale à 25 600 ISO, et l'écran fixe et non tactile. Toutes peu importantes à mes yeux.

Nikkor 18-105 mm 1:3.5-5.6

 

Ce zoom 18-105 mm (équivalent 28-160 en 24x36) est devenu mon objectif à (presque) tout faire. Avec son zoom 5.8x, cet objectif offre des clichés d’une très grande qualité, dans toutes les situations de prise de vue. Équipé du système de réduction de vibration (VR) et du moteur ondulatoire silencieux (SWM), il offre des performances exceptionnelles en cas de faible luminosité. Il permet d’obtenir des images stables à la fois sur le capteur et dans le viseur, et garantit un autofocus rapide et discret.
La compatibilité est totale dans toute la série des objectifs pour boitier DX, même ceux qui ne sont pas motorisés, cet objectif ayant son propre servo-moteur (SWM) très silencieux. On pourra aussi le monter sur un boitier FX ayant la fonction DX.

Bien sûr, c'est un objectif fourni dans les kits, donc a priori moins bon que le reste de la gamme. Mais le piqué est très correct, particulièrement bon à f/5,6 à la focale de 28mm, puis il faut progressivement fermer plus on monte dans la focale. En fermant à f/8 on obtient un bon piqué assez homogène sur l’ensemble de la focale.

Le traitement anti-reflets (flare) des lentilles semble très efficace.
Aucun vignettage à la focale 28mm, à 50mm petit vignettage jusqu’à f/5.6 et plus rien en fermant davantage et enfin à partir de la focale de 100mm et plus (200mm) léger vignettage à f/5.6.
La distorsion est la plus présente dans les petites focales, mais rien de rédhibitoire.

Avec ce type d’objectif, on ne peut s'attendre à un bokeh de qualité mais le flou est très convenable.
L’autofocus est relativement rapide et surtout, très précis ,et silencieux.

La distance minimale de mise au point est de 45 cm à toutes les focales, ce qui permet de faire de la proxiphotographie.

Bref, un zoom à tout faire pesant 560 grammes, franchement, c’est assez génial.

Sigma 150-600

Premières impressions après quelques utilisations

Affichant un poids de 1,93 kg sur la balance, il faut avouer que cet objectif ne laisse pas indifférent quand on l’a dans les mains. Mais ce poids lui donne une grande sensation de solidité qui n’est pas désagréable du tout. Si cela est déroutant au début, je dois avouer que je m’y suis rapidement fait et aujourd’hui je n’y prête plus vraiment attention. Je l'utilise à main levée mais aussi avec un monopode, plus pratique qu'un trépied.

Cette amplitude 150-600 mm n’existe tout simplement chez aucune autre marque, à part Tamron, qui dispose également d’un 150-600 mm. On se sent vraiment avec un monstre dans les mains, taillé pour multiplier les belles photos. La qualité de construction est, quant à elle, irréprochable.

Cinq boutons de réglages se trouvent sur le côté du Sigma 150-600mm.

  • Les modes de mise au point : autofocus ou manuel
  • Les limites de distance de mise au point : 2,8 à 10 m, 10 m à l’infini, full
  • Les modes de stabilisation : verticale/horizontale, normale ou off
  • Les modes personnalisés>
  • Le verrouillage de focale : permet de bloquer l’objectif à une certaine valeur

Travaillant quasi-uniquement à main levée, j’utilise assez peu la poignée si ce n'est pour transporter l”objectif et l’appareil. Je positionne la poignée tournée vers le haut.

Cette configuration me permet de toujours transporter l’appareil dans le bon sens et donc de gagner un peu de temps d’action : lorsque je mets l’œil dans le viseur je n’ai pas besoin de retourner le matériel.

J'apprécie les repères blancs tous les 90 degrés qui sont inscrits sur le fût et qui permettent de tourner l’objectif pour passer rapidement en mode portrait, ce qui est très pratique. 

A noter également que la poignée du Sigma 150-600 mm est assez courte : si cela n’est pas un problème pour moi (j’ai de petites mains), j’ai lu plusieurs fois sur internet que cela pouvait être dérangeant pour les gens ayant des mains plus larges.

Pour ce qui est de la bague de mise au point, c’est un sans faute : elle est très facilement accessible et tourne parfaitement, de manière complètement fluide. L’amplitude n’est ni trop grande ni trop petite, ce qui permet d’être très précis. Un excellent point pour ceux qui aiment peaufiner leur MAP en manuel.

La bague de zoom est également très fluide, mais il faut avouer qu’elle peut être assez dure à tourner et demande un certain effort, surtout à main levée.Un point très positif : il est possible de modifier manuellement la focale en tirant/poussant directement sur le fût, ce qui permet de passer très rapidement d’un extrême à l’autre si besoin.

De manière générale, les deux bagues sont très agréables d’utilisation, accessibles et assez larges pour un bon maniement. La matière caoutchouc utilisée sur la bague de zoom permet de ne pas avoir les mains qui dérapent.

On pourrait penser que l'ouverture du diaphragme serait LE point négatif de ce téléobjectif du point de vue du bokeh et de la prise de vue en basse lumière. Certes, en terme de profondeur de champ, une ouverture de f/6.3 ne vaudra jamais une de f/4 ou de f/2.8. Mais l'on peut obtenir de très belles photos avec des flous..

Le Sigma 150-600 mm se sortira très bien d'une ambiance peu ensoleillée ou nuageuse. Evidemment, en forêt par temps gris, cela deviendra un peu plus compliqué et il faudra recourir à la montée en ISO et/ou au trépied. L'essentiel est de travailler le triangle d'exposition (ouverture, vitesse, sensibilité) en agissant sur les deux autres réglages : la vitesse d'obturation et la sensibilté ISO.

De plus, la stabilisation optique est vraiment performante. Elle permet de réussir de bonnes photos à 600 mm, à main levée à une vitesse de 1/60 ou 1/50s sans avoir de flou de bougé éliminatoire.

Autre point très important en photographie animalière, l'auto-focus est rapide et performant. En effet, pouvoir suivre rapidement un animal en mouvement, surtout quand il est très rapide, est extrêmement important. Il faut environ une seconde pour que l'auto-focus parcoure toute la plage, mais le bouton de sélection de plages de mise au point diminue fortement ce temps : si le sujet se trouve à moins de 10 mètres, inutile de laisser la possibilité à l'auto-focus de s'effectuer jusqu'à l'infini : il faut utiliser la plage 2,8 m à 10 m. Ce bouton permet de gagner énormément de temps, puisqu'en dessous de 10 mètres la mise au point se fait quasiment instantanément.

Outre la photo animalière, ce zoom est très utile en photo de paysage en permettant d’aplatir les perspectives.

Enfin, grâce à sa longue focale et à sa distance minimale de mise au point (2,80 mètres), il est possible de se rapprocher très près du sujet et d'obtenir des bokeh très intéressants en proxiphotographie.

Sur la galerie photo

J'ai testé des dizaines de générateurs de diaporamas, mais aucun ne m'a complètement satisfait. Après bien des hésitations, j'ai finalement décidé de me lancer dans la création d'une galerie photo.
Je me suis fortement inspiré pour la mise en forme de l'excellent book portfolio, malheureusement disparu, de Gaïl Lefebvre.
Puis j'ai découvert le logiciel jAlbum, qui correspond à mes attentes.

Ma galerie est >>>>>>>>>>>> ici <<<<<<<<<<<<<

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Galerie photo mise en ligne le 24 décembre 2014

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