Ve 15 Bastia Concert 40 anni!
Sa 16 Ajaccio Concert 40 anni!
Ma 19 Sotchi (RU)
Ve 22 Bastia - Tante voce una via
Me 27 Gent (BE)- Conversation(s)
Je 28
Dendermonde (B) - Concert A Filetta
Ve 1er Bruxelles
Sa 2 Beveren
Di 3 Namur
Ma 5 Roeselare
Me 6 Luxembourg
Sa 23 Ulmetu
Ma 9 Ajaccio, Espace Diamant - Ulysse sans terre
Sa 13 Fundao, Portugal
Di 14 Castelo Branco, Portugal
Ma 30 Perpignan - Danse Mémoire, Danse
Di 5 Yaroslavl (RU)
Ve 10
Calv
Me 15
Wiesbaden (D) - Puz/zle
Je 23 Bezons - Conversation(s)
Ve 24
Rouen - Conversation(s)
Je 30 Meran avec Conductus
Me 5 Urtaca
Me 12 Fabriano (It.) Danse Mémoire, Danse
Ve 14 Châteauvallon - Danse Mémoire, Danse
Ve 28
Ile-Rousse, Parc de Saleccia
Je 4 Calvi, Cathédrale
Lu 15 Olmu
Sa 20 Clermont en Genevois
Di 21 Libramont-Chevigny
Ve 26 Mouans-Sartoux
Sa 27 Labeaume - Conversation(s)
Ma 6
Moltifao
Ve 9
Bourges
Ma 13 Lumiu
Me 4 Belgodere
Ma 10 au Sa 14 Calvi, Rencontres de Chants Polyphoniques
Je 26 & Sa 28 Lyon
Ve 4 Cateri
Ve 15 Bastia (2B), Centru Culturale L'Alb'oru - Œdipe Roi
Sa 16 Bastia (2B), Centru Culturale L'Alb'oru - Œdipe Roi
Ma 19 Corti (2B), CCU - Spaziu universitariu Natale Luciani - Œdipe Roi
Ve 22 Migliacciaru (2B), Centre Culturel Anima (Salle Cardiccia) - Œdipe Roi
Sa 30 Pigna (2B), Centre de Création Musicale Voce (Auditorium) - Œdipe Roi
Ve 6 Sartè, Centre d'Art Polyphonique - 18 h - A scelta artistica
Ve 13 - Sa 14 Hong-Kong Puz/zle
Les concerts des autres années :
Ce concert anniversaire des 40 ans a fait l'objet d'une captation et sera retransmis par Via Stella à une date non encore communiquée. En attendant, voici quelques images de ce grand moment.
Le reportage de France 3 Via Stella sur les répétitions (13 février) :
Intervenants - Laurent Simonpoli Equipe - Yann Benard
Les photos d'Armand Luciani :
Celles de Bernardu Cesari :
Et un extrait de "Una Tarra Ci Hè" posté par Gilles Simeoni sur Facebook :
Le groupe A Filetta fête ses 40 ans. Pour l'occasion, ils seront en concert à Ajaccio ce samedi soir à A Fabbrica (L’Aghja), pour le concert avec musiciens. Ils se sont produits hier au théâtre de Bastia, extrait sur des images de Christian Giugliano (Via Stella).
Et "Sì" posté par Diana Saliceti :
Corsica and Georgia are both mountainous countries. Their thousands year old mountains are singing, and their polyphony has been charming everyone since ancient times. The history of these mountainous areas formed the beliefs of people, their dreams, expressed in continuous singing about love, love to the Homeland, to people, love to these wild lands and respect to the nearest and dearest. Singing is sometimes joyful, praising the vineyards and wine; or filled with melancholy and long moaning, waking the memories of the past. Besides, Georgia and Corsica –these are the sea, which offers happiness and joy.
Hand in hand, in perfect harmony, Filetta and Rustavi give us the most charming definition of “singing”:
“Singing means speaking tenderly about something powerful, and powerfully about something tender”.
In Sochi, where the mountains meet the sea, a unique joint concert of two world-known male choirs will be held at the Winter International Arts Festival.
La parole du photographe : "What a blast of pure, a capella polyphony from Corse, mixing their proper tradition with influences from other mediterranean polyfonic traditions,... and those of Georgia,... sacral at some moments, very engaged to the realities of today,... with one song, dedicated to a young lady that didn't survived an attack of her friend, last weekend,... in their proper village,... polyphony with a great human message..."
Cherkaouis Tanzstück „Puz/zle“ in Wiesbaden.
Die besondere Kunst des Sidi Larbi Cherkaoui besteht vielleicht vor allem darin, Personen aus unterschiedlichen Kulturkreisen und mit unterschiedlichen Fähigkeiten zusammenzubringen – und mit ihnen ein Stück entstehen zu lassen, das wie aus einem Guss wirkt. In „Puz/zle“, uraufgeführt 2012 in Avignon, am Ort eines Steinbruchs, geht es sogar dezidiert um diese Begegnungen. Die korsische Männervokalgruppe A Filetta ist beteiligt mit fast sakralen Gesängen, die libanesische Mezzosopranistin Fadia Tomb El-Hage, der Japaner Kazunari Abe mit Percussion und Shinobue (Flöte). Und natürlich Cherkaouis Ensemble Eastman, beheimatet in Antwerpen.
Aus Anlass der Maifestspiele gastierte Eastman – unter diesem Markennamen produziert Cherkaoui auch – mit dem rund zweistündigen „Puz/zle“ im Großen Haus des Wiesbadener Staatstheaters. Das muss es schon deswegen sein, weil aus „Fels“-Quadern von den Tänzern immer wieder anderes gebaut, geschichtet wird, eine Treppe für Riesen, ein Tempel, Schacht, eine Mauer, Säulen. Ziemlich schnell wird offensichtlich, dass es auch um die Menschheitsgeschichte geht, um Zerstörung und Neubeginn.
Wie lauter Sisyphosse krabbeln in schwarze Pluderhosen gekleidete Tänzerinnen und Tänzer die gestapelten Quader hoch, gleiten ab, rutschen runter. Einer stürzt in einen Schacht, die anderen werfen ihm Steine hinterher. Wollen sie ihn töten? Die grauen Steine dienen später als Rhythmusinstrumente. Zeremoniell anmutende Reihen werden gebildet. Die Sänger stellen sich immer wieder dazu oder in den Hintergrund; schlicht schön sind ihre Lieder, ein wenig melancholisch auch.
Überhaupt scheut sich der belgische Choreograf nicht vor Pathos – ohne es zu übertreiben. Er ist nicht missionarisch, hebt nicht den Zeigefinger, aber seine Stücke haben doch auch stets eine Botschaft. Und sei es, dass sie, wie „Puz/zle“, von den kriegerischen Irrwegen des Menschen ebenfalls erzählen. Miharu Toriyama hat dafür grau-martialische Kostüme entworfen, ehe das Ensemble später sozusagen in Zivil, in legerer Kleidung auftritt.
Cherkaoui braucht wenig, um trotzdem noch einmal Kriegsassoziationen entstehen zu lassen: ein Tänzer sprayt kleine Hubschrauber-Umrisse auf einen der Quader. Und es ist doch interessant, dass man nicht als erstes an Rettungshubschrauber denkt, sondern an solche, die Soldaten und den Tod bringen. Und schon wird das Ensemble zu Flüchtenden, läuft durcheinander, stürzt, stirbt. Eine Frau geht durch die Liegenden, scheint nach Überlebenden zu suchen.
Dieses getanzte Menschheitsgeschichte-Puzzle ist überwiegend dunkel, die Bewegungssprache schmeichelt dem Auge nicht, bricht eckig, kantig, intensiv aus den Körpern. Es sind bisweilen hochartistische Eruptionen, die Akteure werfen sich buchstäblich in den Tanz, oft in einem Solo. Dazwischen stehen beeindruckende, kraftvolle Ensemble-Bilder. Und damit man nicht ganz verzweifelt, klebt der Schönklang des Gesangs immerhin ein paar Pflaster auf die Seele.
Source : Frankfurter Rundschau
Nous retrouvons enfin A Filetta dans cette magnifique chapelle Corneille de Rouen pour le programme "Conversations" dans lequel A Filetta retrouve la voix captivante et feutrée de Fadia Tomb El-Hage.
"Chants profanes ou sacrés, interprétés en corse, en arabe ou en syriaque. Une parfaite complémentarité entre les interprètes. Symbiose unique, polyphonie limpide", dit le texte de présentation. On ne saurait mieux dire.
Après trois chants interprétés par le groupe (Nana, Benedictus et L'Anniversariu di Minetta, Jean-Claude présente Fadia, qui fait son entrée. Le public est tout de suite subjugué par cette voix aussi à l'aise dans les aigus que dans les graves, soutenue par un bourdon impeccable. Les compositions d'A Filetta ou de Bruno Coulais (Le Lac, Notte tana...) s'entremêlent avec le répertoire de Fadia. Une berceuse judéo-espagnole dédiée à Jean-Claude dont c'est aujourd'hui l'anniversaire, un Kyrie eleison, un Treblinka sublimé par la voix de Fadia, un Letterella enlevé, et c'est déjà la fin du concert… Le public obtient deux rappels : un superbe extrait d'Ulysse, et pour finir un magnifique U Sepolcru.
Un concert attendu depuis longtemps avec impatience: les polyphonies corses interprétées par le groupe corse A FILETTA. L'ensemble nous a proposé un programme très diversifié à l'occasion du 40° anniversaire du groupe! C'était une occasion unique pour entendre ces voix particulières dans ce beau répertoire issu d'une puissance tradition orale, et d'écouter de beaux messages humains, parfois en deux langues.
Au Musée des Confluences, l'on continue d'explorer la sono mondiale sous toutes ses formes et géographies, de la questionner et de la confronter : illustration cette semaine avec les polyphonies corses sous la houlette de A Filetta.
L'exploration des folklores de France n'a guère cessé depuis le revival entamé au cours des seventies par des groupes comme Malicorne, et depuis la fin des années 90, par la grâce de quelques mélanges détonnants (Denez Prigent mêlant électronique et breizh touch), s'est offert une exposition beaucoup plus large. Ainsi de A Filetta, qui perpétue la tradition du chant polyphonique corse, fouillant l'âme insulaire avec un brio certain et ayant su se confronter au maloya réunionnais de Danyel Waro, qui suit une démarche proche, ou encore avec la chanteuse libanaise Fadia Tomb El-Hage, suite à une collaboration commune sur la pièce Puz/zle du chorégraphe Sidi Larbi Charkaoui, créée au festival d'Avignon en 2012.
Car la puissance évocatoire et cinématique de ces polyphonies masculines les ont amenés du côté du spectacle vivant comme du grand écran, en particulier avec le compositeur Bruno Coulais, rencontré dans une église, pour plusieurs bandes originales de films dont Himalaya : L'Enfance d'un chef ou encore Le Peuple migrateur.
Mais c'est sur scène que l'émotion et la spiritualité sont à leur sommet, portées par des a capellas parfois agrémentés d'une légère instrumentation empruntant au classique ou au jazz (leur rencontre avec Paolo Fresu). A Filetta depuis 1978 enchaîne ainsi les prestations, multipliant les changements de chanteurs (plus d'une quarantaine déjà !), sans perdre de leur mystérieuse attirance que le Musée des Confluences a décidé de mettre à l'épreuve en proposant une sorte de conférence chantée avec le quintet, baptisée A' core datu, une plongée ou une immersion dans les polyphonies corses au travers de la carrière de A Filetta, piochant dans les traditions à l'origine du groupe comme dans leurs plus récentes évolutions. Ce sera ce jeudi 26 septembre à 12h30, en guise d'apéritif avant la rencontre importante : celle réunissant samedi 28 Jean-Claude Acquaviva (le chef du chœur depuis 40 ans), François Aragni, Petr'Antò Casta et Maxime Vuillamier, soit la formation actuelle de A Filetta, avec le quartet du pianiste Andy Emler, king de l'impro jazz : on réserve.
A Filetta & Andy Emler Quartet
Au Musée des Confluences le samedi 28 septembre à 20h
A' core datu
Au Musée des Confluences le jeudi 26 septembre à 12h30
Source : Petitbulletin
http://www.afiletta.com
Pour joindre directement A Filetta :
Contact A Filetta :
contact.afiletta@gmail.com
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